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Féminicides par compagnons ou ex publiés en janvier 2024

Vendredi 26 janvier à Marseille (Bouches-du-Rhône), Antonia (70 ans) a été étranglée avec une ceinture par son compagnon (67 ans) dans leur appartement. Malgré l'intervention des pompiers, la victime était déjà décédée depuis plusieurs heures. Son conjoint, qui est déjà connu des services de police, a été appréhendé au domicile.

Lors de sa garde à vue, l'homme a reconnu avoir tué sa compagne. Samedi 27 janvier, il a été mis en examen pour "homicide volontaire par conjoint"  #féminicide

11. Antonia

Étranglée avec une ceinture

Vendredi 26 janvier à Marseille (Bouches-du-Rhône), Antonia (70 ans) a été étranglée avec une ceinture par son compagnon (67 ans) dans leur appartement. Malgré l'intervention des pompiers, la victime était déjà décédée depuis plusieurs heures. Son conjoint, qui est déjà connu des services de police, a été appréhendé au domicile.

Lundi 22 janvier à Bretoncelles (Orne), Magali Barbu (51 ans) a été tuée à coup de fusil de chasse par son mari Ulysse Borysse (54 ans) à leur domicile. Il a caché son corps dans une camionnette. L'homme aurait ensuite tenté de se suicider avec la même arme, il serait légèrement blessé au visage. Ce sont de proches, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, qui ont donné l'alerte auprès de la gendarmerie. Interpellé par les gendarmes, le mari a été placé en garde à vue. 

Selon les premiers éléments de l'enquête et les informations de Actu.fr, "la piste du #féminicide serait privilégiée". 

Le meurtrier avait déjà été condamné pour des faits de violences conjugales et de détention d’arme de catégorie C et pourtant il ne faisait l'objet d'aucun suivi judiciaire. #JusticeComplice 
Il a reconnu avoir tué sa compagne avec un fusil de chasse et avoir tenté de transporter son corps dans un grand sac déposé dans le coffre de sa voiture. L'arme n'a toujours pas été retrouvée.
L’homme a été incarcéré à la maison d’arrêt de Caen. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

10. Magali

Abattue avec un fusil de chasse

Lundi 22 janvier à Bretoncelles (Orne), Magali Barbu (51 ans) a été tuée à coup de fusil de chasse par son mari Ulysse Borysse (54 ans) à leur domicile. Il a caché son corps dans une camionnette. L'homme aurait ensuite tenté de se suicider avec la même arme, il serait légèrement blessé au visage. Ce sont de proches, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, qui ont donné l'alerte auprès de la gendarmerie. Interpellé par les gendarmes, le mari a été placé en garde à vue.

Lundi 15 janvier à Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir), le corps de Brigitte Vallet (63 ans) a été découvert à son domicile, elle aurait été asphyxiée par son compagnon, Philippe Leclainche (60 ans). Ce dernier aurait ensuite nettoyé le corps de la victime avant de le déposer sur le lit conjugal. Il aurait également placé des pièces de monnaie sur les yeux de Brigitte avant de prévenir les pompiers. Bien que le compagnon nie toute implication, le procureur confirme qu'il a été déféré ce jour devant un juge et a été mis en examen pour "homicide par conjoint et atteinte à l'intégrité d'un cadavre" #féminicide 
Cet homme est bien connu de la justice puisqu'il a été condamné à plusieurs reprises dont une peine de 10 ans en 2000 pour une tentative de meurtre dans l'Aude. Il a également été condamné en 2021 à 2 ans de prison pour une agression sexuelle sur Brigitte Vallet, la victime ! Il était sorti de prison en avril 2023.
Encore un #multirécidiviste qui était en liberté 😡

9. Brigitte

Asphyxiée

Lundi 15 janvier à Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir), le corps de Brigitte Vallet (63 ans) a été découvert à son domicile, elle aurait été asphyxiée par son compagnon, Philippe Leclainche (60 ans). Ce dernier aurait ensuite nettoyé le corps de la victime avant de le déposer sur le lit conjugal. Il aurait également placé des pièces de monnaie sur les yeux de Brigitte avant de prévenir les pompiers. Bien que le compagnon nie toute implication, le procureur confirme qu'il a été déféré ce jour devant un juge et a été mis en examen pour "homicide par conjoint et atteinte à l'intégrité d'un cadavre" #féminicide

Lundi 15 janvier à Martigues (Bouches-du-Rhône), Bernadette dite "Burnie"  (54 ans) a été battue à mort, avec une barre de fer, par son compagnon  Dominique S. (58 ans) dans leur salon. Celui serait décédé de coups de couteau infligés par sa compagne selon le procureur de la République. L'enquête s'oriente selon lui vers "une dispute conjugale" qui aurait mal tourné. "Pour un motif et dans des circonstances qui restent à déterminer, la femme se serait emparée du couteau pour porter plusieurs coups à son compagnon. Celui-ci, avant de succomber à ses blessures, aurait saisi la barre de fer pour porter de multiples coups à la tête de sa compagne." Une autopsie des corps a été ordonnée.
Sur quoi la Justice se base-t-elle pour privilégier cette hypothèse ?
Contrairement à la version misogyne du procureur, nous penchons davantage pour une version féministe et basée sur les statistiques des homicides conjugaux: Monsieur aurait menacé Madame avec une barre de fer et Madame se serait défendue avec un couteau. 
Pour rappel, les corps ont été découverts dans le salon de leur appartement. Qui a une barre de fer sous la main dans son salon ? Les coups de couteau ont-ils été infligés par Madame ou sont-ils auto-infligés par Monsieur pour se suicider après avoir tué Madame ?
L'extinction de l'action judiciaire, avec la mort des 2 protagonistes, sera-t-elle l'opportunité pour ne pas poursuivre les investigations ? Dans tous les cas, ils seront tous 2 comptés dans le rapport de la DAV en tant que "morts violentes au sein du couple".
Opposées à cette vision machiste et patriarcale, qui va à l'encontre des statistiques et de la réalité des #féminicides conjugaux que nous analysons depuis 8 ans, nous retiendrons donc que Madame a été victime d'une féminicide par compagnon et pour Monsieur, nous comptabiliserons un homicide par compagne en probable légitime défense.

8. Bernadette dite "Burnie"

Battue à mort avec une barre de fer

Lundi 15 janvier à Martigues (Bouches-du-Rhône), Bernadette dite "Burnie" (54 ans) a été battue à mort, avec une barre de fer, par son compagnon Dominique S. (58 ans) dans leur salon. Celui serait décédé de coups de couteau infligés par sa compagne selon le procureur de la République. L'enquête s'oriente selon lui vers "une dispute conjugale" qui aurait mal tourné. "Pour un motif et dans des circonstances qui restent à déterminer, la femme se serait emparée du couteau pour porter plusieurs coups à son compagnon. Celui-ci, avant de succomber à ses blessures, aurait saisi la barre de fer pour porter de multiples coups à la tête de sa compagne." Une autopsie des corps a été ordonnée.

Lundi 15 janvier à Nieuil-l'Espoir (Vienne), Michèle Arlaud (60 ans) a été abattue, avec un fusil de chasse, par son mari Patrick Leveque (60 ans) devant leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme.  Ce sont des voisins qui ont donné l'alerte après avoir entendu des appels au secours puis des coups de feu.

Le procureur de la République de Poitiers confirme que "la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide au fusil de chasse est privilégiée" #féminicide 
Une autopsie des corps a été ordonnée.

Michèle était mère de 2 enfants.

7. Michèle

Abattue avec un fusil de chasse

Lundi 15 janvier à Nieuil-l'Espoir (Vienne), Michèle (60 ans) a été abattue, avec un fusil de chasse, par son mari Patrick Lévêque (60 ans) devant leur domicile. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme. Ce sont des voisins qui ont donné l'alerte après avoir entendu des appels au secours puis des coups de feu.

Vendredi 12 janvier à Saint-Mandrier-sur-Mer (Var), Véronique Grandin (56 ans) a été abattue avec un fusil par son ex-mari Georges Gomis (66 ans) à son domicile. L'homme qui avait interdiction de la contacter, a pénétré dans le logement situé au premier étage avec une échelle avant de tirer mortellement sur la victime puis de se suicider avec la même arme. Le couple avait divorcé depuis plusieurs années et le tueur refusait la séparation #crimedepossession 

Il avait déjà été condamné à 4 mois de prison AVEC SURSIS en janvier 2023 par le Tribunal de Toulon pour "harcèlement par ex-conjoint". La victime avait alors bénéficié d'un téléphone grave danger de janvier à juin 2023.et avait signalé aux forces de police avoir croisé son ex à Saint-Mandrier-sur-Mer au mois de juillet 2023. 

Encore une femme qui n'a pas été suffisamment protégée par notre #JusticeLaxiste 
Une enquête est ouverte pour "assassinat" #féminicide

Véronique était mère de 3 enfants.

6. Véronique

Abattue avec un fusil de chasse

Vendredi 12 janvier à Saint-Mandrier-sur-Mer (Var), Véronique Grandin (56 ans) a été abattue avec un fusil par son ex-mari Georges Gomis (66 ans) à son domicile. L'homme qui avait interdiction de la contacter, a pénétré dans le logement situé au premier étage avec une échelle avant de tirer mortellement sur la victime puis de se suicider avec la même arme. Le couple avait divorcé depuis plusieurs années et le tueur refusait la séparation #crimedepossession

Il avait déjà été condamné à 4 mois de prison AVEC SURSIS en janvier 2023 par le Tribunal de Toulon pour "harcèlement par ex-conjoint". La victime avait alors bénéficié d'un téléphone grave danger de janvier à juin 2023.et avait signalé aux forces de police avoir croisé son ex à Saint-Mandrier-sur-Mer au mois de juillet 2023.

Jeudi 11 janvier à Brassac (Tarn), Leïla Hama (50 ans) a été abattue avec un fusil de chasse par son compagnon Dominique (quinquagénaire) à leur domicile. Appelés, les gendarmes se sont rendus sur place et ont découvert la victime qui présentait "un impact de balle unique au niveau du thorax"'. Interpellé, le compagnon a été placé en garde à vue mais il n'a pas encore pu être entendu du fait de sa forte alcoolisation. Plusieurs fusils lui appartenant ont par ailleurs été saisis, ainsi que des munitions.

Le procureur confirme qu'une enquête a été ouverte du chef “d’homicide volontaire par concubin” #féminicide Une autopsie de la victime sera réalisée demain matin par deux médecins légistes à l’Institut médico-légal de Toulouse.

Lors de sa garde à vue, l'homme a reconnu les faits, il a été mis en examen et écroué.

5. Leïla

Abattue avec un fusil de chasse

Jeudi 11 janvier à Brassac (Tarn), Leïla Hama (50 ans) a été abattue avec un fusil de chasse par son compagnon Dominique (quinquagénaire) à leur domicile. Appelés, les gendarmes se sont rendus sur place et ont découvert la victime qui présentait "un impact de balle unique au niveau du thorax"'. Interpellé, le compagnon a été placé en garde à vue mais il n'a pas encore pu être entendu du fait de sa forte alcoolisation. Plusieurs fusils lui appartenant ont par ailleurs été saisis, ainsi que des munitions.

Mardi 9 janvier dans le quartier de Mandzarsoa à Mamoudzou (Mayotte), Asmina Said (28 ans) a été tuée par son mari Herdine K.(32 ans) à leur domicile, il l'aurait séquestrée avec ses enfants avant de passer à l'acte devant eux. Selon les premières constatations, la victime présente des marques de strangulation. Le procureur de la République confirme le crime et précise que l'homme a été arrêté peu de temps après les faits alors qu'il était "en train de boire un coup avec des amis".
 
Le compagnon, déja connu de la justice, a été mis en examen et écroué pour "homicide volontaire par conjoint" #féminicide 

La victime était mère de 5 enfants.

4. Asmina

Étranglée

Mardi 9 janvier dans le quartier de Mandzarsoa à Mamoudzou (Mayotte), Asmina Said (28 ans) a été tuée par son mari Herdine K.(32 ans) à leur domicile, il l'aurait séquestrée avec ses enfants avant de passer à l'acte devant eux. Selon les premières constatations, la victime présente des marques de strangulation. Le procureur de la République confirme le crime et précise que l'homme a été arrêté peu de temps après les faits alors qu'il était "en train de boire un coup avec des amis".

Mercredi 3 janvier à Vinon-sur-Verdon (Var), Ghislaine Magnin (76 ans) a été étranglée par son mari (84 ans) à leur domicile. Il a ensuite contacté leur fille pour lui avouer son crime. L'homme, arrêté sur place, a avoué en garde à vue et le médecin légiste a relevé une mort violente par asphyxie.

Le procureur de la République confirme les faits et précise qu'une enquête pour "homicide volontaire par conjoint" est ouverte #féminicide 
Vendredi 5 janvier, le mari a été mis en examen et placé en détention.

Non Var Matin, ce n'est pas "une altercation qui a connu une issue tragique", c'est un #féminicide, un #crimedepossession où un homme s'octroie un droit de vie et de mort sur sa compagne !

Ghislaine était mère de 2 enfants.

3. Ghislaine

Étranglée

Mercredi 3 janvier à Vinon-sur-Verdon (Var), Ghislaine Magnin (76 ans) a été étranglée par son mari (84 ans) à leur domicile. Il a ensuite contacté leur fille pour lui avouer son crime. L'homme, arrêté sur place, a avoué en garde à vue et le médecin légiste a relevé une mort violente par asphyxie.

Mardi 2 janvier à Nègrepelisse (Tarn-et-Garonne), Martine Vacquier (62 ans) a été abattue avec un fusil de chasse, par son compagnon Jean-Claude (75 ans), alors qu'elle se trouvait dans la buanderie de leur maison. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme dans le lit conjugal. C'est la soeur de la victime, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours.

La substitut du procureur de la République de Montauban confirme que "l'hypothèse d'un #féminicide suivi d'un suicide" est privilégiée, la victime souhaitait se séparer de son conjoint #crimedepossession. 

Martine était mère d'une fille et grand-mère d'une petite fille.

2. Martine

Abattue avec un fusil de chasse

Mardi 2 janvier à Nègrepelisse (Tarn-et-Garonne), Martine Vacquie (62 ans) a été abattue avec un fusil de chasse, par son compagnon Jean-Claude (75 ans), alors qu'elle se trouvait dans la buanderie de leur maison. L'homme s'est ensuite suicidé avec la même arme dans le lit conjugal. C'est la soeur de la victime, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours.

Lundi 1er janvier 2024 à Bourail (Nouvelle-Calédonie), Lucie Fatauli  (29 ans) a été battue à mort par son compagnon (31 ans) au bord d'une route. Les premières constatations sur la victime ont révélé une blessure ouverte sur le côté de l’arcade sourcilière droite, suggérant l’utilisation d’un objet contondant, ainsi que des hématomes au niveau du cou, du menton et de l’œil droit. L'homme a alerté des proches, précisant qu'après "leur dispute", la victime et lui se seraient "endormis dans l'herbe puis elle ne se serait plus réveillée". Après avoir déplacé le corps de sa compagne, le meurtrier a pris la fuite, il est activement recherché.
Le procureur a confirmé l’ouverture d’une enquête pour "homicide volontaire par conjoint" #féminicide Par ailleurs, il précise que le compagnon est déjà connu de la Justice pour usage de stupéfiants, vols aggravés et violences volontaires.
Samedi 6 janvier, le corps du meurtrier aurait été retrouvé au pied d'une falaise à Bourail, il se serait suicidé peu de temps après les faits. Une analyse ADN est en cours pour confirmer l'identité du corps découvert.
Originaire de Kouaoua, la victime était mère de 3 enfants.

1. Lucie

Battue à mort

Lundi 1er janvier 2024 à Bourail (Nouvelle-Calédonie), Lucie Fatauli (29 ans) a été battue à mort par son compagnon (31 ans) au bord d'une route. Les premières constatations sur la victime ont révélé une blessure ouverte sur le côté de l’arcade sourcilière droite, suggérant l’utilisation d’un objet contondant, ainsi que des hématomes au niveau du cou, du menton et de l’œil droit. L'homme a alerté des proches, précisant qu'après "leur dispute", la victime et lui se seraient "endormis dans l'herbe puis elle ne se serait plus réveillée". Après avoir déplacé le corps de sa compagne, le meurtrier a pris la fuite, il est activement recherché

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